Sur le plan fiscal, les associations peuvent bénéficier d’un régime spécifique d’exonération de certains impôts, notamment l’impôt sur les sociétés (IS) et la taxe sur la valeur ajoutée (TVA), sous certaines conditions liées à leur but non lucratif et à la gestion désintéressée de leurs activités. Cependant, certaines activités lucratives exercées par les associations peuvent être soumises à des obligations fiscales spécifiques.
Les associations sont tenues de nommer un Commissaire aux Comptes (CAC) si elles dépassent certains seuils fixés par la législation. Ces seuils peuvent varier en fonction de différents critères, tels que le chiffre d’affaires annuel, les ressources financières ou le nombre de salariés (total du bilan supérieur à 1,55 million d’euros, chiffre d’affaires hors taxes supérieur à 3,1 millions d’euros, effectif moyen de salariés supérieur à 50).